Daytona USA

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Daytona USA

Nom: Daytona USA - Année: (1993 Jpn) 1994 - Support: Arcade SEGA Model 2 - Editeur: SEGA - Développeur:  SEGA AM2 - Concepteur: Toshihiro Nagoshi

 

Daytona USA a été pour moi LE choc vidéoludique, celui du changement de génération de machine. Alors que les consoles 16 bits et la plupart des bornes nous habituaient à la 2D (Copieusement remplis de superbes Beat them all, et de Vs Fighting) j’attendais beaucoup de la nouvelle 3D. Déjà les cartes Model 1 et l’équipe AM2 m’avaient soudoyé avec le magnifique Virtua Racing (Les jeux de cours 3D me passionnaient techniquement), mais l’impact qu’a eu Daytona USA (suivi de SEGA Rally) sur ma vision des jeux a été un tournant, et j’attendais beaucoup de la 3D (et du coup des futures consoles 32 bits).

Comme je l’ai déjà radoté, j’ai eu la chance de bien connaître le videur de la salle, qui en plus d’être fort au combat (et respecté) était un chic type, il m’a payé de nombreux crédits sur cette magnifique borne de Daytona. J’en fus tellement heureux et j’y ai tellement joué. Pourtant elle était très coûteuse, peu pouvait se le permettre et beaucoup tournaient autour sans oser y mettre des crédits.


Les conditions du test.

Je dois avouer que du coup je garde des souvenirs minutieux sur le comportement de la Hornet en arcade, le moindre coup de volant ou la réaction d’un dérapage appuyé un peu fort sur le frein, voire même un léger contact sur le mur m’ont laissé un souvenir indélébile, tant j’ai eu la chance de pouvoir jouer à la borne.

J’ai réalisé le test sur l’émulateur Model 2 Emulator LIEN, configuré avec un volant pédalier Microsoft Sidewinder Precision Racing Whell, volant basic sans retour de force. Et je dois avouer que j’ai presque retrouvé les mêmes sensations, du moins dans le comportement de la voiture. Pas de problème de ce côté là donc. L’émulation et les souvenirs purent cohabiter.

J’ai aussi pendant  cet article joué à Daytona sur un bel écran HD de 106cm et via mon ampli audio Sony, et je peux dire que "ça en jette" côté sensations.

(NdZ : Les captures ont été réalisées avec les filtres bilinéaire et filtres de textures et modifient le rendu visuel d’origine.)


Daytona USA.

C’est un principe simple et typique (et apprécié) de l’arcade de l’époque. Une seule voiture disponible et trois circuits à parcourir : 
 

( PISTE 1 ) - 777 Speedway. BEGINNER (Short).

Un circuit court maintenant devenu emblématique et possédant 8 laps et uniquement basé sur la vitesse à pleine charge et un passage de virage plus serré au niveau du Sonic. C'est une référence au circuit "Pocono" situé en Pennsylvanie. Clairement mon circuit préféré et le plus utilisé des joueurs, car rempli d’adrénaline et de vitesse. Le combat se fait contre 39 autres voitures.

Astuces: Il est possible d'utiliser la machine à sous (avant le virage du Sonic) en appuyant sur START. Quelques secondes supplémentaires peuvent être gagnées (777, 3 Cerises, ou 3 BAR). Chaque bobine stoppera et ne peut-être utilisée qu'une seule fois. En multijoueurs, chaque utilisateur peut le déclencher.

 

( PISTE 2 ) - Dinausaur Canyon. ADVANCED (Medium).

Un périple de 4 tours basés sur des courbes moyennes ou rapides. Bien plus difficile ici de gérer l’inertie de la voiture et les dérapages / freinages qui seront plus nombreux et difficiles. 19 voitures cette fois sont à affronter.

La musique utilisée est la célèbre  "Let's Go Away" utilisée aussi en introduction du jeu.

 

( PISTE 3 ) - Sea-Side Street GalaxyEXPERT (Long).

Un véritable travail de chasse est en route sur deux longs tours, le plus détestable et le plus technique des trois circuits, chaque touche ou perte de vitesse est pénalisante au possible. L’entraînement sera long. Seul piste à contenir des chemins multiples. 29 opposants s'affronteront à vous.
 

Bien sûr les cheekpoints seront présents et aideront à récupérer quelques secondes, mais ce point est presque illusoire et ils servent surtout à voir son temps. Daytona est étudié pour chasser la seconde et rien n’est laissé au hasard. Vous saurez avec les temps intermédiaires où en est votre situation et si la fin du circuit est réalisable ou pas.

 

L’opposition est bien présente et est constamment là pour vous gêner et vous mettre la pression (surtout dans le circuit Beginner où les accidents sont nombreux).  l’ensemble des voitures sera dans le rythme de la course pour vous faire obstacle et dévier certaines de vos actions.

Le saviez-vous ? L’intelligence artificielle des voitures rivales est très poussée pour l'époque et s’adapte aux compétences du joueur lorsque celui-ci effectue son dernier tour. Ainsi si vous êtes bon dans les temps, votre passage peut se retrouver obstrué afin que vous changiez de voie lors des tours suivants. Même remarque si vous faites un mauvais tour, cela libèrera la voie.

Une boîte automatique et manuelle est sélectionnable également. Le premier circuit ne posera pas de contrainte étant donné que l’on est en charge constante, pour les deux suivants le choix sera très important.

Astuce à ce sujet: lorsque vous êtes dans l'écran du choix  de boîte, restez appuyé sur STRAT, une petite fenêtre "TIMELAP MODE" apparaît. Sélectionnez maintenant votre boîte avec l'accélérateur. Vous vous retrouverez ensuite seul sur la piste sans concurrent gênant et pouvez ainsi vous concentrer uniquement sur les temps à réaliser.

 

Quatre vues (bouton VR) sont également disponibles, c'est selon les goûts, celle de base je pense étant la meilleure (impression de vitesse / Maitrise) et est la plus utilisée des joueurs.
Astuce à ce sujet: ces boutons VR peuvent être utilisés comme astuces lors du "Gentlemen start your engines" en sélectionnant un des boutons VR, vous pourrez ainsi changer de musique pour la partie en cours.

 

A chaque tour, un Pit stop est possible, mais il est très pénalisant, à n'utiliser que lorsque votre caisse est en très mauvais état. Sur un volant comme le Sidewinder sans retour de force, les dégâts de la voiture ne se font pas trop sentir. Par contre, sur la borne les répercussions sur le retour de force donnent véritablement des sensations de dommages.

 

Côté écran, c’est épuré et en même temps complet. A gauche le nombre de Lap y est indiqué, et surtout les temps aux tours (avec le meilleur temps en rouge). Au milieu se situe votre temps restant, un efficace compte tours, votre position de boîte (en manuel), ainsi que votre vitesse. Enfin à droite se situe votre position dans le groupe, un radar et votre position sur le circuit. Beaucoup d’indications, même si personnellement je ne me sers principalement que des temps de références au tour.

 

Le saviez-vous ? L’idée de Daytona USA a été conçue lors d’une visite de Toshihiro Nagoshi aux Etats Unis où il est allé assister à une course NASCAR. À l'époque, son équipe et lui étaient à la recherche d’une nouvelle façon de développer un jeu de course, et la nature bestiale et excitante du NASCAR a poussé l'équipe à essayer de reproduire ce type de course sous cette forme en jeu vidéo, ce qui a donné Daytona USA.


Jouabilité.

Conduire une Hornet dans Daytona n’est pas si facile, il faut bien apprendre à maitriser la bête rageuse qui on le sent bien développe des chevaux. Les parties ligne droite et courbe simple ne posent aucun problème, c’est du velours. Mais dès que l’on arrive dans une courbe serrée, l’affaire n’est pas si simple.

On le ressent bien, la voiture colle à la route, c’est une belle machine adhérente à l’asphalte. Et les réactions avec le volant sont d’une belle précision. Alors comment faire pour les épingles et autre virage tendu à 300 km/h ? Et bien en jouant avec le frein ou la boîte de vitesse, et maîtriser les dérapages. Et glisser à 300 km/h avec une voiture puissante qui colle demande une belle maîtrise et de l’entraînement.

A vrai dire il est difficile de passer le virage du Sonic toujours de la même façon, il y a toujours une subtilité, un détail qui fait que la négociation se fera de manière légèrement différente, et cela se verra sur le compteur, car en plus de le passer, il faut perdre un minimum de vitesse pour reprendre la folle course sans avoir à trop accélérer à nouveau et se laisser aller sur son inertie. Ce passage est finalement un pur bonheur car tout dépend presque de lui.


Pour les deux autres parcours c'est différent. L’intermédiaire se joue toujours des courbes rapides mais aussi de virages plus serrés à passer à moindre vitesse. L’expert quant à lui demandera une maîtrise du dérapage à faible vitesse (si on peut dire) qui n’est pas évidente à appréhender. Ce qui pour ces deux derniers demanderont à passer en boîte manuelle, car en auto c’est presque impossible. Le passage inférieur de rapport à pleine charge rend plus facile le passage de virage.

D’ailleurs la boîte manuelle à ses avantages, elle permet d’une part d’aller un peu plus vite en vitesse de pointe, mais également d’encaisser plus facilement les chocs contre les murs ou les autres voitures. De plus le passage d’un rapport à un autre peut devenir redoutable d’efficacité (souvent entre 3eme et 4eme) qui permet de déraper ou de réadhérer sans subir trop de perte dans les tours. Ce que provoque le frein.

On essaie finalement de combattre constamment la puissance rageuse de la voiture. Pour le niveau "Short" les courbes étant grandes donnent une certaine facilité à utiliser la gomme. Pour les deux autres c’est déjà plus compliqué, mais pourtant tout est maîtrisable, un vrai plaisir irrémédiablement.

Dans la version borne, le volant avec retour de force était excellent avec une belle résistance et des coups pas trop violents mais immersifs. Le pommeau 4 vitesses était également un argument fort, court en passage et bien adapté. Mon volant Microsoft fait pâle figure en comparaison.


Daytona USA a été le premier jeu d’arcade à pouvoir aligner 8 joueurs en simultané. Chaque voiture dans ce cas à une couleur différente. Dans ce cas la borne est tolérante et attend que chaque joueur soit prêt. Mais il est possible de démarrer avec moins de joueurs si l’un d’eux traîne un peu trop. L’assemblage existe également une version 6 joueurs, 4 joueurs, 2 joueurs (que j’ai vu le plus souvent), et en mono.

 

Réalisation.

Grace aux améliorations graphiques que permet SEGA Model 2 Emulator, j’ai pu constater que malgré l’âge du titre, Daytona en garde sous la semelle. Certes la simplicité de l’environnement  et des voitures pourraient porter aujourd’hui à sourire, pourtant il n’en est rien.  Et j’ai bien mon idée là-dessus.

En fait, le jeu était très bien étudié dans son centre, c’est-à-dire que l’attention n’est pas spécialement portée sur le graphisme en lui-même, en dehors de certains détails qui font la différence (comme le Sonic qui attire toujours l’œil). L’ensemble mise sur la pression constante que provoque la course plus que sur le reste, et ça c’est vraiment très fort. C’est ce que de (nombreuses) conversions (Saturn) et autres éditions n’ont pas réussi à faire. Même remarque pour des clones comme Burning Road (PS1) Lien.

Dès les premiers instants, on perçoit  une pression qui ne nous lâche pas sur la totalité du jeu. Le comportement de la voiture y est pour quelque chose c’est un fait, mais plus que ça, le tremblement infime mais permanant de la Hornet, le bruit agressant du moteur, les bruitages pertinents entourant notre atmosphère, les autres voitures également, font de l’ensemble une boule d’agression qui ne laisse pas le conducteur se relâcher. Et les graphismes pourtant très bons mais maintenant Vieillots passent du coup en second plan.

J’étais épaté par les graphismes à l’époque comme beaucoup, mais Daytona c’est en fait bien plus que ça. C’est un ensemble qui fait une harmonie et on ne le percevait pas forcément comme ça à l’époque (sauf l’équipe AM qui l’a réalisé qui eux avaient pigé le truc). Alors que j’ai eu des jeux actuels beaucoup plus beaux techniquement, le choque des années ne s’est pas fait sentir.

Le saviez vous? La première version (1993) était une version limitée qui a été conçue pour le Japon afin de voir la réaction du public face à ce tout nouveau matériel. C’est en 1994 que Daytona USA se voit libéré en version complète et s’expatrie enfin dans le monde entier. D'ailleurs le comportement des voitures et le nom des circuits n'apparaissent qu'à partir de cette version.

Il faut aussi tenir compte que la résolution du jeu a été améliorée grâce à l’émulateur, ce qui évite aussi le gros tas de pixel, car il me semble bien que sur la borne, de mes derniers souvenirs, cela m’avait plus choqué malgré l’écran cathodique. Daytona reste donc malgré son âge une très belle réalisation, en plus sur le support d’origine.

J’ai toujours été admiratif concernant le reflet des nuages sur les vitres de la voiture. Un détail certes, mais qui m’a toujours plu et que je trouvais de bon goût.

Le saviez vous? En plus d’être le premier jeu de course polygonal à bénéficier de texture, Daytona USA arrive à maintenir une fluidité exceptionnelle de 60 images par seconde.  Et ce quoi qu’il se passe à l’écran. Quand je parle de révolution technique pour l’époque.

Coté audio, il faut en parler, c’est avec une joie plus que certaine que j’ai retrouvé de "Dayyyytonnaaaaaa…" de cette excellente intro, c’est toujours aussi bon. Voilà un court morceau qui en a conquis plus d’un à vie. Pour le reste c’est comme pour la réalisation, c’est un ensemble de musiques (trois dispos seulement dont l’intro repris en niveau Medium) combatif qui est agrémenté d’énormément de petit gris-gris et autres bruitages percutants. Les voix digitalisées sont toujours aussi chouettes, et d’autres petites musiques viennent agrémenter les intros ou les fins de partie. Du grand art.

Le saviez vous? C'est Takenobu Mitsuyoshi qui a composé et  interprété  les musiques et les chants de Daytona USA. Ici nous ne connaissons pas son nom, mais nos tympans se souviendront éternellement de sa voix.

 

Les conversions que j’ai connues.

Daytona USA m’ayant passionné, j’ai eu plusieurs de ses adaptations sur consoles. Si aucune je dois l’avouer n’est venue rivaliser avec la version Modèl2, certaines ont  le mérite de s’en approcher.

En tout cas ce ne fut pas la version Saturn qui m’a laissé complètement à côté (du coup à l’époque j’ai pris une Play avec Wipeout). J’ai bien eu la Saturn après quelques temps, mais le mal était fait. La version suivante "Championship circuit edition" m’a laissé encore plus sur ma faim. Plus complète certes, mais j’attendais une adaptation digne de la borne, pas un clone de Destruction Derby.

Ma frustration dans les jeux de voitures a été quelque peu apaisée avec l’excellente conversion du titre de Namco Ridge Racer sur Play, dont j’avais aussi un volant pédalier, et même et surprenant et efficace NeGcom.

Ce fut suivi heureusement de l'excellente conversion de Sega Rally sur Saturn, une vraie bulle d'oxygène pour moi, comme quoi la Saturn quand elle veut bien être programmée est capable de belles choses, dommage pour la version de Daytona.

Pour finir, j’ai eu tout de même ma version de Daytona USA sur Dreamcast qui est à ce jour ce que j’ai eu de mieux (hors émulation) avec le volant Madcatz. Quelques bonnes heures passées dessus et entre amis.

N’ayant pas de PS3 ni de Xbox360, je n’ai pas pu tester les versions XBLA/PSN, qui apparemment se rapproche beaucoup de la version Model 2, et remis au goût du jour.

 

Daytona USA et l’émulation.

Etant donné que MAME n’est pas très adapté à la 3D et qu’il me poserait dans ce cas plus de problèmes que de solutions, je me suis naturellement tourné pour ce test vers un émulateur adapté au Model2 comme Model 2 Emulator. En dehors de quelques bugs graphiques, j’ai été pleinement satisfait de l’émulation de Daytona USA. Les graphismes ayant même été améliorés comme la résolution du jeu.

Toutefois, j’ai remarqué que Daytona USA n’était pas jouable immédiatement et qu’une petite configuration était nécessaire pour profiter du titre. Rien de dramatique, nous allons voir cela :

Au lancement du jeu, vous vous retrouvez face à un problème d’affichage, l’écran est rayé et ne veut aller plus loin. La manipulation consiste simplement à passer la borne en mode SINGLE. Voici comment faire :

Lorsque vous être dans cette fenêtre rayée, appuyez sur le touche F2 pour aller dans le menu TEST MODE.

Une fois dans le menu, vous pouvez vous balader avec des touches VR1 et VR4 de Daytona. Si vous n’avez pas modifié les touches, de base sur le clavier c’est W pour monter, et V pour descendre. La validation se fait par la touche START, de base touche 1 du clavier.

Allez donc dans GAME SYTEM, puis passez LINK ID en mode SINGLE. Faites EXIT pour sortir du test Mode, ça sauvegarde tout seul, et vous voilà enfin dans Daytona USA.

Vous avez constaté que vous pouviez modifier d’autres points intéressants dans le menu GAME SYTEM, comme la région (COUNTRY) que vous pouvez changer entre JPN, USA, et Export. Mais également la difficulté, et quelques autres points moins importants.
 

Côté jouabilité avec Model 2 Emulator, j’ai testé Daytona sous plusieurs dispositions, c’est-à-dire avec une manette 360 et PS2 avec directions réglées sur analogique, un volant pédalier Sidewinder , et la manette NeGcon. Un bilan a éclaté aux yeux ! Daytona USA est presque injouable avec les manettes 360 et PS2.

En fait Daytona est conçu pour jouer avec une grande amplitude de mouvement, tant dans la direction que pour l’accélérateur et frein, et utiliser des boutons n’aident pas car cela rend le comportement trop brusque.

Cela vient bien de Daytona car j’ai également utilisé les manettes sur Sega Rally et Indy500 (toujours sur M2 emulator) et cela passe assez bien avec ces jeux.

Voici comment configurer en analogique Daytona avec Model 2 Emulator:



 

Les 6 versions Model 2.

6 Versions de Daytona USA sont présentes dans la liste des Roms. Daytona USA - Daytona USA '93 Edtion - Daytona USA (Saturn Ads) - Daytona USA Turbo - Daytona USA GTX2004 - Daytona USA To The Maxx.

Il y a quelques retouches graphiques, par exemple j'ai préféré de toute la version '93 Edition  qui bénéficie de couleurs plus belles, d'un contraste plus élevé, et de quelques modifications graphiques dans l’interface ou dans la démonstration.

A retenir les versions Turbo dont la voiture à de grandes roues. La version GTX2004 qui a un vrai turbo, et la version To The Maxx qui en plus de ses 6 vues, à l’air bien complète.

Petit tour en images:

 

En conclusion.

Heureux de constater que malgré les années Daytona USA n’a pas si vieilli et procure toujours autant de sensations. L’émulation (du moins sur SEGA Modèl 2 Emulator) rend le jeu très accessible et facile d’accès. D’ailleurs un tutoriel est disponible ICI , j’espère qu’il pourra vous faire passer rapidement de bons moments sur ce jeu magnifique, et dorénavant immortel.

Bon jeu ;-)


Télécharger la rom.
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Tuto: Configurer simplement Model 2 Emulator.

 

Astuces de Daytona.

Comme vous l’aurez remarqué dans l’article, Daytona USA regorge d’astuces à utiliser à différents moments ou endroits. J’en ai déjà cité (mais il y en a bien d'autres), mais celle-ci est utilisable dans les tableaux des scores lorsque vous inscrivez vos initiales.

Musique de :

After Burner.     Entrez A.B.
Enduro Racer.     Entrez E.R.
Gaz d’échappement de F1.     Entrez EXN.
Fantasy Zone.     Entrez F.Z.
G-Loc : bataille aérienne.     Entrez GLC.
la Force de la galaxie.     Entrez  G.F.
GP Rider.     Entrez la GPR.
Hang-On.     Entrez   H.O.
Distancer.     Entrez O.R.
Dérive de la puissance.     Entrez P.D.
Quatuor à cordes.     Entrez QTT.
Rad Mobile.     Entrez R.M.
SDI: Initiative de défense stratégique.     Entrez SDI.
Space Harrier.     Entrez S.H.
Stade de Croix.     Entrez l.C.
Strike Fighter.     Entrez S.F.
Super Hang-On.     Entrez SHO.
Super Monaco GP.     Entrez SMG.
Epée de Vermillion.     Entrez VMO.
Thunder Blade.     Entrez T.B.
Turbo OutRun.     Entrez TOR.
Virtua Fighter.     Entrez V.F.
Virtua Racing.     Entrez   V.R.

Voilà de quoi occuper les fins de partie.




 

Article rédigé par Zapier le 05/11/2013
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